Je remercie une nouvelle fois Babélio dans le cadre de sa masse critique, littérature de jeunesse, et les éditions cauanne.
Ce livre s’adresse à un public privilégié des 12 ans.
Lu en compagnie de mes 2 enfants de 8 et 11 ans(garçon et fille).
Petit bémol formel: le texte imprimé est mal placé au niveau de la reliure.. Il faut forcer la pliure pour accéder au texte complet, ce qui rend la lecture assez inconfortable, et j ai l impression de le martyriser.. Ce Pauvre livre.. C est regrettable.
Nous avons aimé les dessins de belle facture, le parcours en titres musicaux qui jalonnent le livre, façon étiquette, un peu comme l’air musical correspondant à l’état d’esprit du moment,
cf ci-contre p.46/47
donnant du rythme, en audio.
Ce pourrait être top..
Nous avons aimé faire connaissance avec Valentine et son petit monde, un monde ouvert sur de l’extrasensoriel..et ce style carnet de bord, agrémenté de petits graphismes.
En revanche, j’en ai pas adhéré au style.
Et mes enfants ont peiné à garder le fil, ils n’ont pas compris quelle était finalement l histoire,
des phrases complexes à rallonge qui les ont perdus,
du vocabulaire exigeant pour cette tranche d âge.
Un mélange des genre avec un « dad/daddy » et des expressions anglaises,
et une mère sensible à l’extrasensoriel,
le tout devient… ésotérique.
Une sensation ASSEZ mitigée donc,
l idée était prometteuse, atypique, et rafraîchissante
la réalisation.. Trop ambitieuse.
M.G